Café bouillu et page presque blanche… Mais il va peut-être sans dire que cette chanson est l’une des plus magnifiques de l’univers. Plus encore un dimanche gris, venteux, complètement pourrave, comme celui-ci. J’en profite pour remercier P. chez qui je l’ai découverte, elle et des centaines d’autres. Sans lui, j’aurais pu mal tourner.
Elle m’en a fait boire de la morve, à chouiner sur mon sandwich, quand ça n’allait pas fort. Mais aussi les jours de joie, en grande égalisatrice d’humeur.
Aussi, quand je vois un pignouf avec son barda cybernétique, moi le premier et mes joujoux qui clignotent, mes pédales d’effets à la noix, je reviens vers elle, qu’on trouve d’ailleurs sur le très pertinemment nommé Magnetic Poetry. Un remède pour ne jamais oublier ce qu’on peut faire de si beau avec seulement quelques doigts gourds et un nez plein de rhume.